Reconquête du triathlon de Mont-Tremblant
Le 22 juin prochain, Jean-François Latreille, du cabinet d’avocats Dubé-Latreille, troquera sa toge d’avocat pour le dossard d’athlète à l’occasion du légendaire Triathlon de Mont-Tremblant réputé pour les élévations de son parcours et les eaux froides du lac Tremblant.
Un défi personnel, mais surtout un geste pour soutenir l’Association pulmonaire du Québec (APQ), qui joue un rôle déterminant auprès des gens atteints de maladies pulmonaires au Québec depuis plus d’un siècle.
Jean-François n’en est pas à son premier triathlon. Il avait déjà foulé le parcours de Tremblant en 2014, une année gravée dans sa mémoire puisque c’est aussi celle de la naissance de la première de ses 3 filles. Par la suite, il avait dû renoncer à cette discipline faute de temps…!
Dix ans plus tard, c’est la volonté de faire une différence qui l’incite à renouveler cette aventure sportive. Jean-François revient sur le terrain non seulement pour repousser les limites de la cinquantaine, mais surtout pour soutenir une cause qui lui tient à cœur : les 3 millions de Québécois atteints de maladies respiratoires.
On ne choisit pas toujours ses défis, mais on peut choisir d’agir pour donner de l’espoir à ceux qui n’ont pas le souffle.
Le 22 juin, il se jettera à l’eau pour parcourir 1,9 km à la nage, puis enchaînera avec 90 km en vélo et 21,1 km en course à pied dans l’espoir de compléter ce parcours exigeant et de croiser le fil d’arrivée au nom de l’APQ.
Vous voulez faire partie de l’aventure et faire une différence?
Les dons amassés permettront de financer les besoins en équipements du Centre Inspir’er.
Suivez, soutenez, partagez
Depuis plusieurs mois, malgré un horaire chargé, Jean-François s’entraîne fort, soirs et matins. Vous pourrez suivre ses préparatifs dans les prochaines vidéos partagées sur le compte Instagram de l’Association pulmonaire du Québec (APQ).
Cette initiative a pour objectif principal de financer les activités du Centre Inspir’er (l’unique le centre de réadaptation pulmonaire du Québec!) dont l’APQ a besoin pour répondre aux attentes des Québécois atteints de maladies respiratoires.