Les bienfaits de l'activité physique dans la MPOC.
L'essoufflement est le principal symptôme de la MPOC. Alors, il peut être tentant de limiter nos efforts. Pourtant, le fait de bouger lorsque l’on souffre d’une maladie pulmonaire chronique fait partie d’un plan de traitement quotidien.
Comment rester motiver pour maintenir vos activités physiques ?
L’activité physique est l’une des saines habitudes de vie les plus difficiles à adopter. Pourquoi ? Parce que le plaisir vient après et non pendant l’effort. Voici quelques astuces pour contrer les baisses de motivation.
Herbe à poux : l'identifier pour mieux l'éradiquer.
Chez les asthmatiques, l'herbe à poux peut déclencher des crises d’asthme et entraîner des difficultés respiratoires. Tondez-la dès qu’elle pointe le bout de son nez et ne la laissez surtout pas fleurir ! Deux périodes de tonte sont suggérées : à la mi-juillet et à la mi-août.
COVID-19 : faire soi-même ses recherches, est ce réaliste ?
De nombreuses personnes estiment pouvoir dissocier le vrai du faux des informations trouvées sur Internet concernant le coronavirus. Quelles sont les embûches, défis et limites que croiseront monsieur et madame Tout-le-Monde, en entreprenant la vérification des nouvelles auxquelles ils sont exposés ?
Un partenariat pour faire avancer la recherche clinique
L'organisme Q-CROC et l'APQ s'associent afin de faciliter l'accès à l'information sur la recherche clinique en cancer du poumon et de participer à l'amélioration des soins de santé de demain. Si vous êtes atteints d'un cancer du poumon, vous pouvez contribuer à la recherche en participant à un essai clinique.
Deux ateliers bien-être (écriture automatique et art-thérapie) seront proposés à l'automne pour les patients atteints de cancer du poumon, de fibrose pulmonaire idiopathique ou de l'appareil respiratoire (gorge, langue ou autres).
Un à Un est une plateforme de jumelage téléphonique pour les patients atteints de fibrose pulmonaire idiopathique et leurs proches. Bénéficiez d'une oreille attentive et bienveillante d'un bénévole qui a vécu les mêmes épreuves face à la FPI.
En fouillant dans les archives, on retrouve parfois des pépites !
En 1984, l'asthme touchait environ 10 % des enfants (contre 15 % aujourd'hui). Le docteur Lambert avait alors mis au point des séances d'information hebdomadaires pour les parents d'enfants asthmatiques. Il proposait aux parents quelques dépliants fournis par l'APQ.